Biographie

I – PREMIERS DESSINS

Comme tous les enfants Annie Bouquet aimait dessiner. Son talent elle le tient de son père et de son grand-père …
Après trois années d’études en graphisme publicitaire, et à la suite d’une proposition...
Qui depuis des siècles fait la renommée du génie Français
..

II – UNIVERS POUR DAMES

L’entreprise avait été créée au siècle.
On y trouvait aussi ces immenses tapisseries pour tentures murales destinées à ces citadines et spacieuses maisons.

IIA – ANNIE BOUQUET

Annie Bouquet est employée comme peintre dessinatrice par la société “Friedberger – Broderies Russes”.
Il fût décidé qu’Annie Bouquet garderait son statut de Peintre Cartonnière.

C’est un énorme défi: il faut en un temps record constituer une collection.
D’autres aussi pour qui elle sous-traitera l’exécution de modèles de sa propre collection ou exclusifs.

IIb – Tapisserie de france


De la plus petite à la plus grande boutique de détail, tous s’affairent sur le stand du Salon professionnel le “Simolia”.
L’étranger et particulièrement l’Angleterre commence à être prospecté 

III – VARIETE DU BEAU

Au sein de cette maison d’édition Annie Bouquet a acquis les techniques propres au métier de cartonnière et étendu sa connaissance des styles .

Il est assez intéressant de noter qu’en matière de broderie et de tapisserie au point on oublie facilement.

Cela est certainement dû au fait que la broderie et la tapisserie au point font appel à la créativité personnelle de chacun.

IV – BAYEUX

Le plus ancien exemple connu de cette collaboration paraît être cette fameuse Tapisserie de Bayeux .

V – L’ART COMBINATOIRe DES COULEURS

Enfin et surtout l’art du cartonnier c’est, comme pour la tapisserie de basse ou haute lisse, le choix judicieux des couleurs. 

VI – UNE MAITRISE

La difficulté vient du peu de couleurs à la disposition du cartonnier. C’est donc non seulement une sensibilité extrêmement aiguisée à la couleur .
Toutefois, il n’est que d’admirer ces fastueuses tapisseries tissées du XVem au XVIIIem siècle pour se rendre compte des possibilités extraordinaires de cet art de la combinaison. 

VII – PINCEAUX

Cet art de la couleur que détient le cartonnier il s’y en adjoint un autre celui du peintre.
La peinture à l’aiguille est aussi une expression pour déterminer un ouvrage ou le nombre de couleurs et leur juxtaposition fait vraiment penser à une peinture. 

VIII – SERIGRAPHIE

Ces trois techniques utilisent indistinctement l’appélation “Peint Main”. Une seule peut vraiment la revendiquer. 
Pour certaines brodeuses on s’éloigne de la “peinture à l’aiguille” car on y perd ces subtils nuances et ces imperceptibles dégradés.
Tous secteurs d’activité bien éloignés de celui de l’imprimerie et de ses odeurs plus ou moins toxiques. 

IX – LE FONDU DES COULEURS

Voici l’un des défis les plus importants qui fut d’emblée posé aux lissiers et aux Brodeuses des siècles passées...

X – LE DEGRADÉ & LA NUANCE

C’est tout l’Art du lissier ou du brodeur et toutes les potentialités de sa technique qui sont convoqués...

XI – SIGNATURE

Toutes les peintures sont signées. Or une fois terminées, jamais les broderies ni les tapisseries ne le sont à Paris pour se procurer les ouvrages créés par tel ou tel artiste cartonnier...

XII – LA SENSIBILITÉ

L’expérience du cartonnier, la palette de couleurs…
Cette Peinture à la Main est non seulement l’expression la plus authentique du cartonnier 

Retour en haut